Actualités

Marcolès parmi les Plus Beaux Villages de France : Une reconnaissance bien méritée !

C’est officiel ! Notre charmant village de Marcolès, situé au cœur de la Châtaigneraie cantalienne, a obtenu le prestigieux label des Plus Beaux Villages de France le samedi 21 septembre 2024 à Polignac (Haute-Loire). Cette distinction, fruit d’années d’efforts et de réhabilitation, récompense enfin notre joyau architectural qui se trouve à une vingtaine de kilomètres d’Aurillac.

Un long chemin vers la reconnaissance

C’est un rêve devenu réalité pour Marcolès, qui avait déposé sa première candidature au label en 2003. Après plus de deux décennies d’efforts continus, la commune peut aujourd’hui savourer cette consécration. La Commission Qualité et labélisation des Plus Beaux Villages de France a salué les actions menées pour préserver et valoriser le patrimoine bâti, mais aussi les initiatives pour dynamiser le village, tant au niveau économique que social. Ces efforts incluent une politique d’acquisition foncière visant à attirer de nouveaux habitants, tout en soutenant le développement de commerces de proximité essentiels pour maintenir un cadre de vie agréable.

Un village au patrimoine préservé

Marcolès est un village qui respire l’histoire à travers ses ruelles pavées et ses maisons de pierre typiques de la région. Mais au-delà de son charme ancien, ce sont aussi les initiatives modernes qui ont séduit la Commission. La commune s’est engagée dans une démarche de réhabilitation et d’embellissement, tout en veillant à conserver l’âme de ce village médiéval. L’aménagement des espaces publics et les efforts de restauration des façades témoignent de l’attention portée à la préservation du patrimoine local.

Un label qui incite à poursuivre les efforts

Cette distinction est une source de fierté pour Marcolès, mais aussi un encouragement à continuer sur cette voie. Le label des Plus Beaux Villages de France, reconnu pour son niveau d’exigence, incite les communes lauréates à persévérer dans leurs actions de valorisation du cadre de vie et du patrimoine. La Commission accompagne d’ailleurs souvent ses décisions de recommandations pour inciter les municipalités à poursuivre leurs efforts dans la gestion des espaces publics, la réhabilitation des bâtiments et l’accueil de nouvelles activités économiques.

Une fierté partagée avec les habitants

Pour les habitants de Marcolès, cette labélisation est aussi une fierté collective. C’est grâce à leur attachement à leur village et à leur engagement dans les projets municipaux que cette reconnaissance a pu voir le jour. Ensemble, ils ont su préserver l’identité unique de Marcolès tout en s’adaptant aux défis d’aujourd’hui.

Cette distinction est également une opportunité pour Marcolès d’accueillir des visiteurs curieux de découvrir l’authenticité et la beauté d’un village cantalien, tout en veillant à ce que ce label ne compromette pas l’équilibre et la tranquillité qui font le charme du lieu.

Marcolès, désormais labellisé parmi les Plus Beaux Villages de France, a su prouver que patience, détermination et amour pour son patrimoine peuvent mener à une reconnaissance nationale. Que l’avenir soit aussi radieux que les pierres qui ornent ses façades !



Grange Magne

Soutien aux services de base au niveau local pour la population rurale

Objectifs du projet

  • Permettre la pérennisation à Marcolès de l’activité du salon de coiffure
  • Développer une activité et créer des emplois
  • Revitaliser le centre-bourg historique
  • Accroître le patrimoine communal

Travaux effectués

  • Réhabilitation d’une ancienne grange – étable
  • Poursuite de la dynamisation du centre-bourg historique
  • Mise en accessibilité du bâtiment
  • Disposer d’un local disponible pour l’installation d’un artisan/commerçant/artiste

Cette  opération  est  cofinancée  par  l’Union européenne dans le cadre du Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural (FEADER) : l’Europe investit dans les zones rurales.

http://ec.europa.eu/agriculture/rural-development-2014-2020/index_fr.htm


Une nouvelle artisane s’installe

Marcolès. Une nouvelle artisane s’installe. Fleur de pots est l’enseigne du nouvel atelier de poterie qui vient de s’ouvrir dans la petite cité de caractère castanhaïre.

Emmanuelle Moulin, une jeune quinquagénaire d’origine thiernoise, a un parcours atypique. Enfant, elle traînait dans une ambiance d’ateliers, que ce soit celui de coutellerie de ses grands-parents au milieu de la limaille, celui de son oncle qui travaillait le bois ou de sa voisine qui était costumière d’opéra.

Elle s’est néanmoins tournée vers l’enseignement et est diplômée d’une licence en science de l’éducation. Professeure, documentaliste, elle s’est ensuite dirigée dans le commerce. En 2011, à la suite d’un licenciement économique, elle découvre grâce à une amie, la poterie et amorce une reconversion professionnelle. Elle suit alors une formation à l’école de céramique d’Aubagne, et décroche un CAP tournage et un CAP décor, entre 2011 et 2013. Les années suivantes, installée en Bretagne, elle développe une technique et recherche son style, en qualité d’amateur, tout en retravaillant dans l’enseignement. Désireuse de se rapprocher de ses terres natales, elle s’installe dans un premier temps dans le nord Cantal, puis définitivement à Marcolès. Emmanuelle travaille la faïence blanche qu’elle peut décorer au pinceau selon son empreinte, et peut fabriquer des pièces sur demande.

En savoir plus. Fleur de pots, rue Longue à Marcolès. Ouvert d’octobre à mai, de 10 heures à midi et de 14 heures à 18 heures, du mardi au samedi ; de juin à septembre, de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 heures à 18 heures, du mardi au samedi. Tél. 07.83.44.40.37 ; mail, fleurdepotsceramique@gmail.com ; Facebook : fleurdepots.

Read More


Les granges revivent et se réinventent

La Petite cité de caractère garde la trace de ses activités paysannes pas si lointaines.

Jusque dans les années 1960, une petite dizaine de granges, dans le bourg, hébergeaient encore de belles salers ou, parfois, plus modestement quelques chèvres. Aujourd’hui, elles ont perdu leur fonction agricole mais contribuent toujours à l’identité du village paysan. Rénovées, restaurées dans le respect des volumes et des matériaux, elles accueillent désormais de nouvelles activités contribuant ainsi au renouveau de la belle cité castanhaïre, tout en ayant conservé le nom de leur dernier propriétaire.

1 La grange Suc.  Cette grange a été acquise par la mairie en 2006. Cette belle bâtisse du faubourg-haut a, dans un premier temps, accueilli des expositions et un atelier d’artiste, puis à l’étage, le laboratoire de boulangerie bio de Sylvestre et Aurélie Ménuel qui y travaillent toujours. L’étable verra l’arrivée de la Galoche du Cantal en 2020. Aujourd’hui, toujours dans son jus, avec ses crèches et son sol pavé, elle constitue un cadre d’exception pour le restaurant Chez Gaëlle qui vient tout juste de s’y installer.

2 La grange de l’Auberge de la Tour.  Autrefois, elle hébergeait les chevaux du Relais de Poste qu’était l’auberge de la place de la Fontaine. Ensuite, elle servit de rangement pour le matériel de l’Hôtel Alidières puis de l’Auberge de la Tour. Acquise par la mairie en 2000 avec l’ensemble immobilier, elle abrite depuis 2014, les cuisines de Renaud Darmanin, le chef étoilé du lieu.

3 La grange Guirbert. Plus modeste dans ses dimensions mais sublime par son architecture, la grange Guirbert a été cédée à la commune en 2020, par son dernier propriétaire, pour un euro symbolique. Elle loge aujourd’hui l’atelier et la boutique de La Galoche du Cantal, qui a trouvé là un lieu plus visible et très adapté à une fabrication authentique par nature.

4 La grange Magne.  Elle est la dernière arrivée dans le patrimoine communal, et se trouve à la Fausse-Porte. Acquise par la mairie en 2021, après une année de travaux, ce bâtiment est maintenant le domaine d’Émilie coiffure, installée dans la cité médiévale depuis plus de 10 ans. À l’étable, un local de 90 m 2 reste disponible pour un artisan, une entreprise ou toute activité qui voudra s’y installer.

Une démarche de valorisation du patrimoine, de revitalisation de la cité

« Toutes ces opérations sont conduites sur le même schéma, précise Christian Montin, le maire. L’idéal, est que l’acquisition de la bâtisse se fasse pour répondre à une demande déjà identifiée d’un porteur de projet. Celui-ci est alors associé au travail du maître d’œuvre, définissant l’aménagement. Parallèlement, la commune réunit le plan de financement. Les partenaires habituels sont l’État au titre de la DETR, de la DSIL ou du Fonds vert, la Région Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de son opération « Villages remarquables », voire l’Europe dans le cadre du Feader. Le taux des subventions obtenues oscille de 70 à 80 % et le reste à charge est financé par un emprunt, lequel est remboursé par les loyers payés par le (ou les) occupant (s). Lorsque l’opération est amortie, les loyers constituent des recettes nettes pour le budget communal », se réjouit le maire.

Plan de financement de la grange Magne. Dépenses, 295.527 € comprenant un prix d’acquisition pour 50.000 € et des travaux/honoraires/divers à hauteur de 245.527 €. Recettes : 201.105 €, composées de deux subventions de l’État (DSIL) pour 70.779 € et l’Europe (Feader), pour 130.326 €. Le reste à charge pour la commune est de 94.422 €, financé par un emprunt sur 20 ans au taux de 3,70 %, soit une annuité de 9.528 €, couvert par les loyers. 

Read More


Démonstration de chiens de troupeaux

Marcolès. Démonstration de chiens de troupeaux. La MFR a invité l’association ACUCT15 (Association cantalienne des utilisateurs de chiens de troupeaux) afin de faire découvrir le travail exécuté par les canins, essentiellement des borders collie. Les adhérents de cette association, créée en 1997 par Bernard Girard, marcolésien formateur à l’Institut de l’élevage (Idele) depuis 1995, sont tous des agriculteurs qui consacrent de leur temps pour former leur compagnon à la conduite de troupeau.

Tout au long de la journée, des démonstrations ont été faites : d’une part par un groupe d’adhérents d’autre part, par David Defargues qui suit actuellement le cursus pour devenir l’un des treize formateurs nationaux à l’Idele.

L’association, dont le siège est à la Chambre d’agriculture, compte un peu plus de 50 adhérents et a pour but de promouvoir l’utilisation de chiens de troupeaux. Ces démonstrations sont faites dans les fêtes à thème agricoles et les lycées agricoles, ou encore lors du championnat de France organisé par la fédération. L’ACUCT organise aussi des journées de confirmation pour la race border-collie, des journées d’évaluation des aptitudes naturelles des chiens, et peut également informer sur les portées disponibles pour des chiots de qualité.

Contact : 04.71.45.55.78.  

Read More


Les visites reprennent pour Les esclops

Marcolès. Les visites reprennent pour Les esclops. C’est sous un soleil pas encore trop printanier que les adhérents du club Les deux clochers de Castanet ont été accueillis pour la première visite de la saison de la Petite cité de caractère. Et pour recevoir les 90 visiteurs aveyronnais, l’association Les Esclops, présidée par Robert Mambert, avait mobilisé ses quatre guides-accompagnateurs qui avaient revêtu pour l’occasion leur nouveau gilet vert estampillé au nom de l’association. Histoire de la cité, découverte de l’église Saint-Martin, histoire des reliques du saint patron, anecdotes du temps jadis où l’on apprend par exemple, que la reine Laëtitia d’Espagne a des origines marcolésiennes, promenade entre porches et carriérons. Ce programme, à la découverte de cette belle cité castanhaïre, d’une durée d’une bonne heure et demie, a ravi les visiteurs admiratifs.

L’association propose aussi d’autres temps de découvertes avec visite de la forge des années 30, de la saboterie mécanique des Frères Auradou, de la Galoche du Cantal, de l’hydromellerie de Fabien, des ateliers de céramique d’Hélène et bientôt d’Emma, sans oublier la possibilité de prendre un repas de terroir.

Renseignements au 06.63.07.15.10 ; mail : lesesclops@gmail.com. 

Read More


Renaud Darmanin : Une Étoile Brillante à l’Auberge de la Tour de Marcolès

Renaud Darmanin, chef renommé de l’Auberge de la Tour à Marcolès, a une fois de plus été honoré lors de la récente cérémonie du Guide Michelin 2024 à Tours, en conservant son étoile. Cette distinction prestigieuse, acquise depuis 2018, témoigne de son engagement constant envers la gastronomie régionale.

Pour Renaud, l’étoile Michelin va au-delà de la reconnaissance professionnelle ; c’est un symbole de dévouement et de passion pour son métier. Tout en mettant l’accent sur la satisfaction client, le chef reconnaît l’importance de cette distinction dans le monde de la gastronomie, en particulier dans les zones rurales.

Depuis sa reprise de l’établissement en 2010, le chef s’efforce de moderniser la cuisine régionale sans compromettre son authenticité. Inspiré par la nature et les producteurs locaux, il offre une expérience culinaire unique qui a attiré davantage de clients depuis l’obtention de l’étoile.

Tout en célébrant ce succès, Renaud continue d’explorer de nouvelles possibilités culinaires, récemment avec la sortie de son livre Fusion. Pour lui, l’équilibre entre l’amour du terroir et l’exigence professionnelle est essentiel pour assurer une expérience gastronomique de qualité.

Lire plus


Dans les préparatifs du Critérium du 7 août

Marcolès. Le critérium a tenu son assemblée générale. Entouré des membres de son bureau et des élus locaux, Francis Cantournet a présidé l’assemblée générale de l’association Critérium international de Marcolès en Châtaigneraie – Souvenir Lucien-Cantournet devant de nombreux bénévoles et partenaires, publics et privés.

L’édition 2023 fêtait son quart de siècle, même si le premier critérium de Marcolès a eu lieu en 1993 où ne couraient que des cyclistes amateurs. Il est devenu professionnel en 1998. Et pour l’occasion, l’association a créé une tenue complète de cycliste (maillot et combinaison) qui a connu un vif succès. Le critérium de Marcolès est la seule épreuve de cyclisme, hors championnat de France, où toutes les catégories sont représentées, et il a lieu juste après le Tour de France.

Un critérium au Maroc en projet

En 2023, le plateau professionnel a rassemblé des cyclistes de bonne qualité, dont Valentin Madouas, champion de France, Christophe Laporte, Jonathan Castroviejo, Romain Combaud, Lilian Calmejane. Cette manifestation est reconnue au niveau des professionnels pour son organisation, son accueil convivial et sa simplicité. Et les coureurs aiment venir y participer. Francis Cantournet a d’ailleurs remercié les cent-soixante- dix bénévoles qui se sont mobilisés pour contribuer au succès de cet événement. Le bilan financier est à l’équilibre, dégageant un léger bénéfice. L’affluence a rassemblé 3.500 spectateurs, sous un temps magnifique. Pour la deuxième fois, une table ronde a été organisée sur le tourisme à vélo dans le Cantal.

Malgré les Jeux Olympiques de Paris 2024, le critérium aura lieu mercredi 7 août, et le plateau est en cours de réalisation. Entre-temps, l’association ne reste pas inactive. Elle participe à l’organisation de nombreux projets, comme la création d’un critérium au Maroc, ou encore la manifestation « Selle en scène », portée par la communauté de communes de la Châtaigneraie, qui aura lieu les 24 et 25 mai prochains à Marcolès.

En fin de soirée, l’assemblée a accueilli Miguel Martinez, champion olympique en 2000 à Sydney, venu présenter l’exposition itinérante des Jeux Olympiques, à Cassaniouze. Un verre de l’amitié a été offert à tous les participants pour clôturer cette belle réunion. 

Read More


Le Moulin de la Santoire et l’Oxalis récompensés par le Bib Gourmand

Le Moulin de la Santoire à Saint-Saturnin et l’Oxalis à Marcolès ont récemment reçu le prestigieux Bib Gourmand, une distinction du Guide Michelin mettant en avant la générosité culinaire et l’utilisation de produits locaux.

Les chefs Renaud Darmanin et Jocelyn Fraisse, respectivement de l’Oxalis et du Moulin de la Santoire, expriment leur joie face à cette reconnaissance inattendue. Ils soulignent l’importance de figurer dans le Guide Michelin tout en restant concentrés sur la satisfaction de leurs clients.

Ces établissements du Cantal se démarquent en offrant une cuisine de qualité à des prix abordables, avec des menus entrée-plat-dessert à moins de 40 euros. Les chefs partagent leur engagement envers la qualité, que ce soit dans un contexte gastronomique ou bistronomique. En dépit de la reconnaissance, ils maintiennent leur focus sur l’expérience client, tout en anticipant avec enthousiasme les étoiles du Guide Michelin, dont l’annonce est prévue le 18 mars.


Une nouvelle édition des Nuits


Le comité d’animation culturelle de Marcolès a récemment organisé un week-end de travail avec David le Gall, conteur breton renommé. Ensemble, ils ont défini le thème de la vingt-neuvième édition des « Nuits de Marcolès, » qui se déroulera du mercredi 17 au samedi 20 juillet. Cette année, la Bretagne a été choisie comme source d’inspiration, suivant ainsi la tradition du comité de mettre en lumière les contes et légendes de contrées lointaines.

David le Gall s’est imprégné de l’atmosphère médiévale de la Petite cité de caractère, explorant la ville avec les membres du comité. Le thème de cette édition émerge naturellement de la riche culture bretonne, réputée pour ses légendes où la frontière entre réalité et imaginaire est mince.

L’événement est prévu pour cet été, avec la participation du conteur professionnel, ainsi que d’autres conteurs amateurs et figurants locaux. Les bénévoles contribueront à créer des décors uniques, et le village sera illuminé par Benoît Tedde pour une expérience immersive au cœur de la culture bretonne.


L’église s’enrichit de deux nouvelles statues

Marcolès. L’église Saint-Martin s’enrichit de deux nouvelles statues. L’église Saint-Martin, inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, est l’une des plus belles églises de la Châtaigneraie. Et depuis les années 1990, elle fait l’objet d’un programme de restauration, commencé à l’extérieur puis ensuite à l’intérieur.

Fresques murales, statues, tableaux, luminaires, retables ont été rénovés, donnant aujourd’hui à l’édifice un aspect très accueillant et lumineux, proche sans doute de celui qu’il avait été à ses origines. Deux nouvelles statues sont venues enrichir cet ensemble. Réalisées par Jean-Pierre Caen, sculpteur sur bois à Conques en Rouergue, elles viennent combler des vides dans le retable de la chapelle Saint-Jean.

Représentant saint Jean le Baptiste et sa mère, sainte Élizabeth, l’artiste s’est librement inspiré d’une œuvre de Donatello, sculpteur italien de la Renaissance, et les a réalisées en bois de noyer. Le projet, initié par la municipalité et l’association des « Amis de l’église Saint-Martin », a fait l’objet d’une validation par la conservation des antiquités et objets d’art, par l’architecte des bâtiments de France pour la sécurisation, ainsi que par la commission d’art sacré que dirige l’abbé Philippe Boyer, et par l’abbé Mathias N’Diaye, curé de la paroisse. Offertes par l’association des Amis de l’église et par le maire, elles apportent une touche plus contemporaine à la statuaire de l’église.

« Nous avons consacré beaucoup d’énergie et pas mal d’argent à la restauration de notre belle église qui est le fruit des générations passées. Nous voulions aussi ne pas seulement restaurer ce que nous avaient légué nos ancêtres, mais également contribuer à enrichir ce qui constitue le patrimoine commun de notre commune et de notre paroisse », ont précisé Noëlle Suc, présidente de l’association et Christian Montin, maire.