Le critérium de Marcolès aura lieu mercredi 9 août, avec le champion de France, Valentin Madouas, et plusieurs autres coureurs du dernier tour de France. Il sera précédé des courses jeunes, juniors et amateurs dans l’après-midi.

Le critérium de Marcolès n’aura pas vraiment 25 ans, mercredi 9 août, il en aura 30. Mais, après cinq premières années amateurs, cela fait bien 25 ans que la course est devenue professionnelle et attire les grands noms du cyclisme mondial comme Froome, Bardet, Vinokourov, Voeckler, Pinot, Leblanc, Virenque, Jalabert…

Et, cette année encore, des pointures de “la petite reine” seront sur la ligne de départ comme le champion de France Valentin Madouas, le Français Christophe Laporte qui se battra entre-temps, ce week-end, pour essayer de remporter les championnats du monde, à Glasgow (Écosse), les coéquipiers Valentin Ferron et Mathieu Burgaudeau, très en vue lors du dernier tour…. L’Auvergnat Romain Bardet pourrait aussi être présent. Annoncé un temps, le maillot à pois Giullio Ciccone ne sera finalement pas au rendez-vous.

Une proximité avec les coureurs

Ces champions feront le spectacle pendant environ deux heures, à partir de 19 heures, sur un tracé de 2,1 km dans les rues de Marcolès. « Sur les grandes courses, on les voit passer une fois. Là, on les côtoie plus longtemps », résume Francis Cantournet, l’organisateur de l’événement.

C’est la spécificité de ces critériums d’après-tour, sorte de parenthèse dans le rythme effréné du calendrier mondial, où le public peut retrouver un échange avec les cyclistes : « Il y a ce côté proximité. Les gens recherchent ça. » Ce qui explique aussi pourquoi le nombre de critérium augmente ces dernières années après une période plus creuse.

Jeunes et amateurs ouvrent le bal d’anniversaire

Celui de Marcolès présente la particularité de faire courir toutes les catégories avant le passage des pros. Les écoles de cyclisme ouvriront le bal à midi, puis les cadets, les féminines, les juniors et les seniors disputeront leur course sur ce tracé, au cœur de la Semaine cantalienne. De quoi offrir un spectacle toute la journée : « Les animations, ce sont les courses », sourit Francis Cantournet.

Les spectateurs auront toutefois aussi la possibilité de profiter d’une exposition de photos et de maillots de collection, et une bodega sera ouverte tout au long de la soirée. Nouveautés de l’année, un maillot collector pour les 25 ans pourra être commandé sur place et le repas réservé aux coureurs, partenaires et bénévoles sera ouvert à une centaine de spectateurs. Car, un repas d’anniversaire, ça se partage.

Mathieu Brosseau

Tarif 15€ à partir de 12 ans.

Marcolès. Une journée consacrée aux peintres et auteurs. Peintres et auteurs sont attendus demain, vendredi, dans la cité médiévale. L’association du patrimoine Les Esclops organise une journée de dédicaces et des peintres dans les rues et carriérons de la Petite cité de caractère, de 10 heures à 18 h 30.

Cette année, Sylvie Baron, auteure de romans policiers du terroir et plus spécialement du Cantal, est l’invitée d’honneur de cette nouvelle édition. Elle sera accompagnée d’une quinzaine d’auteurs, dispersés tout au long de la rue Longue.

Les peintres qui se sont inscrits, dont entre autres, Jean Lacalmontie, Marie-Ève Serieys, Bernard Hautemayou, se positionneront ici ou là à travers le village, pour réaliser une œuvre en direct qui sera exposée à 17 heures, près de la salle polyvalente. Deux visites gratuites de la cité seront organisées par l’association, à 14 heures et à 16 heures. Rendez-vous au parking de l’An-2000. 

Marcolès. Le Préfet du Cantal en visite. La visite préfectorale entre les porches et les carriérons de la Petite cité de caractère avait un petit air d’été. Dans le rôle du guide, Christian Montin, maire, s’est appliqué à faire partager à ses invités les trésors historiques et patrimoniaux dont peut s’enorgueillir la cité. Mais au-delà de l’aspect touristique, l’édile a présenté une politique municipale de rénovation et de revitalisation du centre ancien, qui se traduit aujourd’hui par une politique d’acquisition d’immeubles vacants, de restauration et de mise en location à des fins résidentielles ou professionnelles.

Le cœur historique est en grande partie habité et animé, notamment par un tissu commercial, artisanal et artistique. Le maire a insisté sur les conditions qui permettent cette politique, à savoir, la constance dans les choix et les orientations, la mesure du risque, le soutien des partenaires, le concours de l’UDAP et du CAUE et la référence à la charte des Petites cités de caractère, véritable fil rouge de la politique municipale.

Au cours de la visite, un temps d’échange a permis aux participants de croiser leurs regards sur ces démarches de développement local et d’attractivité des territoires. Christian Montin a tenu à souligner que, parallèlement, Marcolès s’évertue à valoriser un espace rural important où l’agriculture garde une place prépondérante, grâce à une attention constante portée au réseau d’eau et à la voirie communale.

Marcolès. Le conseil municipal reçoit Stéphane Sautarel, sénateur. Le dernier conseil municipal avant l’été a été l’occasion de recevoir Stéphane Sautarel, sénateur. En préambule, une rapide visite de la Petite cité de caractère lui a permis, en ses qualités de représentant de l’État et conseiller régional, de constater les derniers travaux de revitalisation du centre ancien réalisé par la municipalité.

Dans sa présentation, le maire Christian Montin a insisté sur les deux volets du projet municipal : garder vivant le grand espace rural de Marcolès et continuer à faire du bourg médiéval un élément majeur de l’attractivité résidentielle et touristique de la commune.

Stéphane Sautarel a fait part à l’assemblée des priorités de l’action qu’il conduit au Sénat.

Les travaux étant achevés, il a été adopté le décompte global définitif concernant la réalisation de trois logements locatifs à la maison Bardes qui s’élève à 157.436 € HT et la réhabilitation de la maison Giraudet qui s’élève à 227.320 € HT. Toujours dans le cadre du programme d’investissement, les élus ont approuvé un avenant au marché de travaux de la grange Guirbert relatif au lot de démolition, gros œuvre ravalement, ainsi qu’un programme d’actions proposé par l’ONF en forêt communale.

Les points débattus au cours de la réunion : proposition de construction de deux nouveaux pavillons locatifs au lotissement La Parro qui a reçu l’approbation d’une partie des conseillers municipaux ; invasion des choucas dans le bourg. 

Marcolès. Le club des Rochers au pied des Pyrénées. Le club des « Rochers en Châtaigneraie » a séjourné une semaine dans les Hautes-Pyrénées du 17 au 23 juin, où les adhérents ont pu découvrir ou redécouvrir les beaux paysages de ce département. Accompagnés d’un guide qui, grâce à son humour et sa connaissance, a su intéresser les seniors de ses explications, le Pic du Midi, Gavarnie, le pont d’Espagne et bien d’autres sites explorés n’ont plus de secret pour les voyageurs castanhaïres. Le séjour s’est clôturé par une demi-journée de liberté à Lourdes. Tous sont revenus avec des souvenirs pleins les yeux, regrettant la bonne ambiance qui régnait au sein du groupe. 

marcolès . Piscine municipale Thomas, Nelly et Florent accueillent les amateurs de baignade tous les jours, de 14 heures à 18 h 30 à la piscine municipale de Marcolès. Idéalement située au coeur de la cité, tout près du camping, le bassin permet de partager en famille les joies de la baignade en toute sécurité. De grands espaces gazonnés et ombragés complètent les plages et permettent tous les jeux ou le repos. Le tarif d’accès est de 1 € pour les moins de 14 ans, 2 € au delà, et de 0,80 € pour les accompagnants non baigneurs. 

Marcolès. Une soirée réussie pour la fête de l’école. La fête des écoles du RPI Marcolès-Vitrac-Saint-Antoine a connu un vif succès. Proposée par l’Association des parents d’élèves, cette soirée a débuté par le spectacle des élèves mis au point par les enseignants.

Après la remise d’un cadeau aux élèves de CM2 pour marquer leur départ au collège, la soirée s’est poursuivie de manière conviviale autour d’un repas auquel ont participé près de 170 convives. 

Marcolès. Des nouvelles résolutions pour l’ACCA de Marcolès. Après la minute de silence à la mémoire des chasseurs disparus, la séance est ouverte. Lectures faites des différents rapports par Claude Charmes, secrétaire, et Jean-Luc Montourcy, vice-président qui annonce un bilan financier en léger déficit. Cela est dû notamment au nombre d’adhérents en légère baisse. Néanmoins, des pistes pour réaliser des économies sont proposées comme l’ouverture d’un jour en plus en septembre, un lâcher en moins de faisans et perdreaux, un changement de producteur pour les lièvres. Les deux dernières propositions ont été validées en séance, et les rapports approuvés.

Les prélèvements de chevreuils et de sangliers sont stables. Il est noté un fort passage de migrateurs : pigeons et bécasses. Il a été demandé aussi l’ouverture d’une matinée sans chasse courant janvier, février, afin de laisser courir les chiens.

Le président a salué les chasseurs pour leur attention lors des consignes de sécurité et renouvelle ses vœux de reconnaissance et de respect pour les propriétaires.

Le conseil d’administration a été renouvelé. Président, Damien Flori ; vice-président, Jean-Luc Montourcy ; secrétaire, Claude Charmes ; trésorier, Mathieu Montarnal.

Douze ordinateurs, une salle raccordée à l’électricité et au wifi, trois écrans projecteurs dans les salles… La MFR de Marcolès a investi pour rénover son informatique.

Sous le toit, la salle n’a pas une acoustique idéale, mais l’essentiel est ailleurs. Douze ordinateurs portables ont trouvé une place fixe dans cette salle rénovée, raccordée à l’électricité et à la fibre avec l’aide des moniteurs et des élèves de la Maison familiale rurale de Marcolès. « Avant, les ordinateurs portables circulaient, il pouvait y avoir des problèmes, des casses », raconte le directeur de l’établissement, Gilles Malvesin.

Plus de 11.000 euros investis

Désormais, cette salle permet aux 85 élèves de la MFR d’assister à des cours d’informatique mais aussi de travailler en autonomie notamment sur les rapports que les élèves de bac professionnel Conduite et gestion de l’entreprise agricole (CGEA) ont à rendre au cours de leur année de terminale.

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Par ailleurs, cet investissement de 11.000 €, sans compter le raccordement à la fibre qui ferait plutôt grimper le total à 17.000 €, a permis d’installer trois projecteurs dans les salles de cours de la MFR.

« C’est une structure qui investit et qui s’adapte aux besoins des élèves », a souligné Florian Morelle, venu représenté le Département lors de l’inauguration. Le Département a soutenu le projet à hauteur de 1.700 € tandis que les douze postes ont été financés par la Région.

Prochaine étape pour la MFR, mettre un coup de pinceau sur les murs de cette nouvelle salle informatique. Avec un coup de main des élèves et des moniteurs, une fois encore.

Mathieu Brosseau

Une nouvelle section à la rentrée

À partir de la rentrée de septembre, la MFR va ouvrir une nouvelle spécialité de bac professionnel en agroéquipement qui répond à une demande des élèves et à un besoin du territoire selon l’équipe dirigeante. Ils seront six élèves l’année prochaine.